Bordeaux continue incessamment de confirmer son statut de ville attractive. Mais face à ce phénomène d’urbanisme qui ne cesse de croitre, la ville ainsi que les régions à ses alentours connait une pression immobilière jamais aperçu jusqu’ici. C’est notamment le cas de Villenave d’Ornon, qui face à la même pression immobilière, demande de l’aide auprès de Bordeaux Métropole. A noter que le phénomène concerne surtout en grande partie les grandes infrastructures telles les écoles par exemple. La pression immobilière est telle dans la région que la municipalité en vient à suspendre les permis de construire en attente de solution durable.
Une nette augmentation du nombre de logement d’ici sur les cinq années à venir
La pression immobilière à Villenave d’Ornon se fait surtout ressentir par le besoin de construction. En ce sens, il a été constaté que la municipalité recevra potentiellement d’ici quelques années quelques milliers de logement en plus. Cela veut en quelque partie dire que la pression immobilière du moment requiert déjà un effort de la part de la région afin de se préparer aux futurs logements qui devront être isolés correctement, en faisant par exemple appel à isolation-gironde by isoltoit .
La principale représentation de la pression immobilière est également aujourd’hui le manque d’infrastructure légale requis par la loi. Le plus flagrant exemple sur le sujet reste le secteur scolaire qui est toujours en manque jusqu’ici, surtout en ce qui concerne les classes.
Un important projet d’urbanisation en cours
Le projet d’urbanisation de Villenave d’Ornon ne s’arrête pas bien que de nombreuses demandes de permis soient pour l’instant en cours de suspension. Autant de ce fait dire que la pression immobilière sur la région n’a jusqu’à maintenant aucun impact négatif sur le développement de la région. La pression immobilière sur Villenave d’Ornon a au contraire apporté, bien d’avantage à la région comme l’arrivée prochaine du tramway par exemple. Divers aménagements sont également envisagés dans tout le secteur. Mais tout d’abord, la reprise des constructions est encore à attendre, afin de pouvoir aisément résoudre le problème de la pression immobilière.